alcapoun a écrit :C'est bien, grace à toi on voit défiler toute la gamme utilitaire honda.
C'est un peu mono-marque non ?
Moto et utilitaire sont antinomiques.
Toute moto, pour moi, est source de plaisir.
D'ailleurs, je me suis vraiment éclaté avec cette NCX 700 sur les routes pyrénéennes.
C'est effectivement un peu mono-marque, mais je ne connais pas d'autres concessionnaires qui me laissent leurs motos des jours durant sans limitation de kilométrage.
jey a écrit :c'est pas trop frustrant la boîte auto????
c'est un scooter avec une forme de moto pour résumer....!!!!
Non, justement. En mode manuel, que j'ai utilisé pendant 99% de la virée, tu passes les vitesses, à la main au lieu du pied. Mais tu restes maître de la situation. Le double embrayage permet une grande rapidité dans le passage des rapports et , en fait, j'ai beaucoup joué avec cette boîte de vitesses.
J'ai testé le mode auto mais ça ne me branche vraiment pas car le calculateur décide à ta place, et je n'aime pas ça. Même si je reconnais que ça marche très bien.
salut
toujours agréable de te lire
J ai essayé le s (roadster) et j'ai aimé le chassis les freins.
La moto prend 180 compteur
le son sympa est étouffé bien plus sympa que celui de la bmw f 800 'beurk)
en fait j'ai bien aimé la moto
épicurien : des passions à doses raisonnables . La vie est belle
vox81 a écrit :Faut pas confondre:Allume barbecue et motocyclette.
Tes écrits sont sympas mais les tupperwares à roulettes qui gachent les photos.......
Tu radotes, mon pauvre
vox81 a écrit :
:
Laid quand mème sympa ce 2 et demi,tiens y'aurai eu plus de plastique;ben j'en aurai acheter un...pour démarrer le méchoui.
Le bonheur n'est pas le but mais le chemin ( proverbe connu ) je rajouterai même le bonheur n'est pas dans l'engin que l'on chevauche mais dans ce que l'on partage le long du chemin.
Continue et laisse dire.
Bonne route Christian.
Hervé a écrit :Le bonheur n'est pas le but mais le chemin ( proverbe connu ) je rajouterai même le bonheur n'est pas dans l'engin que l'on chevauche mais dans ce que l'on partage le long du chemin.
Continue et laisse dire.
Bonne route Christian.
Entièrement d'accord avec toi.
Cela me fait penser au regretté Fred Tran Duc, grand voyageur qui me fit rêver et m'a sûrement donné le virus du voyage.
Lui, il roulait sur une presque mobylette, toute japonaise qu'elle soit, de 80 cm3. Elle était tellement petite que Vox 81 ne pourrait même pas s'en servir d'allume barbecue, juste comme allumette.
Voilà un extrait de ces écrits qui révèle bien la nature de ce personnage très attachant:
"Puce et moi, on a décidé de faire le tour du monde. Holà ! Je vous arrête tout de suite, pas un tour héroïque avec traversée du désert de Gobi sans étape, franchissement de l’océan Pacifique sur un radeau de bambou, je ne suis pas un surhomme aux pectoraux saillants.
Puce n’est ni un dromadaire ni une voiture amphibie, et Moto Journal n’est pas Paris-Match. Non ! Ce qu’on vous propose ; c’est un tour du monde minable, pépère, le genre de chose qu’un prolétaire-moyen-sans-plus peut s’offrir, s’il consent un jour à vendre sa télé enculeur, son salon salle à manger Ségalot, son costard trois pièces cuisine de chez Pacher Peuchère, bref tout ce qui fait que son papa et sa maman se disent « plus de souci à se faire pour lui, maintenant il est installé ».
Voilà. Puce et moi, on a fait ça, sauf pour la télé parce que la nôtre était un vieux machin en noir et blanc que j’avais hérité de mes parents, et que de toutes façons elle ne marchait plus depuis quatre ans.
Bref, on a vendu un peu tout ce qui traînait à la maison et on a levé l’ancre.
Bon, les gars, on n’et pas sorti de l’auberge : figurez-vous qu’un gars au troisième rang ne connait pas Puce. Puce, c’est ma moto… Oh ! Pas une grosse, pas un de ces trucs qui vous donnent envie de bomber le torse aux carrefours, parce que les gens doivent se dire : « Peuchère, pour monter sur un engin comme ça, il ne faut pas être une femmelette ! ».
Puce, c’est pas ça : elle est si petite que quand je suis dessus, on ne la voit presque plus. Ce n’est pas la moto à Batman, c’est une puce à roulettes.
Pour l’état civil, voilà ce qu’est Puce. Genre : vélomoteur. Marque : Yamaha. Cylindrée : 72 centimètres cubes. Type : 477 (GT 80). N) dans la série du type : 1267. Carrosserie : solo. Energie : essence. Puissance : 001 Ch. Places assises : 7 (mais ça, c’est une erreur de l’ordinateur préfectoral). Numéro d’immatriculation : 6676 EG 92. Date de première mise en circulation : 25/07/75. Nom de l’époux : moi.
Maintenant je vais vous dire ce qu’est Puce pour moi : l’être le plus extraordinaire que j’ai jamais rencontré, comme le dit le Reader Indigeste.
Figurez-vous qu’un jour de juillet 19875, je suis tombé amoureux de ce petit bout de moto, si, si, vraiment amoureux : alors, je l’ai épousée, et nous sommes partis ensemble, en guise de voyage de noces, voir si la mer Rouge l’est vraiment.
En fait, elle est aussi bleue que les autres, mais par contre, Puce et moi avons découvert qu’on aimait bien voyager ensemble. Ce premier voyage, on vous l’a raconté dans Moto Journal pendant l’hiver 1975/76. Aussitôt rentré, on a entendu parler du rallye Côte d’Ivoire-Côte d’Azur. Pour sûr, ça risquait de faire un beau voyage, ça aussi.
A vrai dire, je n’étais pas très chaud-chaud, mais Puce a tellement insisté que j’ai signé. En fait, ce n’était pas un voyage, c’était un rallye. C’est ainsi qu’on a ramassé une grosse pilule. Puce et moi, on a cru ce qu’on disait dans la brochure, c’est-à-dire qu’on pourrait suivre en père peinard, simplement en roulant moins vite mais plus longtemps que les autres.
Erreur : sur les pistes africaines, qu’elles soient en « tôle ondulée » ou en sable mou, on a le choix entre rouler à fond ou pas du tout. Alors, Puce et moi, on a suivi pendant deux mille et quelques kilomètres, et avant de s’escagasser les osses, on est rentré chez nous. La pauvre Puce est rentrée d’Afrique dans un état lamentable, une épave de Puce".
J'ai, dans mon bureau, une affiche qui reprend cette phrase qu'il faisait sienne et qui était d'origine coranique:
« Ne marche pas orgueilleusement sur la terre, tu ne saurais ni la fendre en deux, ni égaler la hauteur de ses montagnes »
Et j'ai encore un souvenir ému de mon gros cyclo qui m'a fait découvrir des populations extraordinaires.
Avec les potes du Motorhino, on avait fini par établir que ce n'était jamais la moto, mais le motard, qui était d'élevage, par opposition à celui élevé au grain…
D'où on déduit qu'il peut y avoir des motards d'élevage sur des brèles au grain, et l'inverse. Reste qu'un motard au grain sur une brèle au grain, ça a plus de gueule quand même…
Merci pour tes partages de ressentis, Christian : continue de bien vivre, avec ou sans Voxan, l'essentiel est bien là… Même si tout le monde sait que c'est bien plus fort en Voxan, naturellement
Merci Christian pour la réf à Fred, ça fait du bien et surtout ça nous rappelle que, qu'importe le flacon, l'important est d'avoir l'ivresse ! Purèe, il me manque vachement le Fred, j'ai dans ma boite mail une réponse qu'il m'avait faite et je la relis chaque fois que j'ouvre ma boite à lettre !
Pour le reste, j'ai commencé ma carrière de motard sur une Honda (MB80), j'ai eu mon 1er entretien d'embauche pour un job chez Honda, j'ai eu de l'admiration pour Mike Hailwood et sa Honda 6 cylindres. Honda, Yamaha, Kawa, Voxan, on s'en fout, tant qu'on est sur 2 roues (même si pour moi, Voxan est de loin inégalé ... ).
Berk berk berk, dommage, cela gache un peu le paysage !
Et pourtant, sans grand effort tout pouvait etre évité !
...Une moto mal béquillée...et hop, dans le ravin,
le paysage renaturé et serein !
:-)
Si l'on joue les utilitaires assummés, je préfere carrément le vieux vespa, l'oural, ou la mule millénaire qui ne défigure pas le paysage, ni le mot de "moto" !
:-)
Tu confonds, un utilitaire assumé, c'est une NTV ou une Deauville, qui fait 300 000 km avec juste les vidanges…pas un nid à m....s - si amusant soit-il - qui tombe en panne tous les 4 matins
De ce point de vue, la Honda vue ci-dessus est "utile" : elle démarre et t'emmène où tu veux sans barguigner… et sans charme, soit