Au fond, en écoutant cette chanson de Ferré, on est plus bercé par la mélodie des mots, le timbre de la voix de Ferré et le roulement des doigts sur les touches du piano telles les vagues qui meurent sur la plage que par la signification réelle des rimes de cette chanson "spleen" , n'est-il pas?
Je crois aussi que Léo Ferré n'avait pas besoin de fumer pour écrire et composer des chansons telles que celle-ci ou d'autres, d'ailleurs, quoique... :oh
toute la force du poète, non?
:wink
un début d'analyse ici
http://jefka.centerblog.net/4890507-Un- ... -et-la-mer
à lire le premier commentaire (Meessen) -on comprend mieux...
bon week-end
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Ex Road jaune original, now without the unic yellow béquille! It's name : the Big Bang, avant y'avait l'néant, ou peut-être les Bogdanoff
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